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Marie-Soleil Desautels

Admission à l’école francophone : le test pour les parents francophiles bientôt prêt

Le parent francophile devra démontrer ses compétences en français et qu’il comprend bien le mandat d’une école francophone.

L'école Boréale est l'une des deux écoles francophones des Territoires du Nord-Ouest. (Crédit photo : Médias ténois)


Le nouveau test que doit réussir un parent francophile pour espérer que son enfant soit admis à l’école francophone « sera bientôt approuvé par le ministère », a annoncé la directrice générale de la Commission scolaire francophone des Territoires du Nord-Ouest (CSFTNO), Yvonne Careen.


« Il n’y a qu’une petite modification à faire au test, l’approbation n’est qu’une formalité »,

a-t-elle dit lors d’un échange téléphonique.


Depuis fin aout, des élèves peuvent s’inscrire aux programmes d’éducation en français langue première des TNO selon de nouvelles règles. L’une d’elles vise les familles dites

« non-ayants droit » dont l’un des parents a des compétences en français.


Le test prend la forme d’une entrevue informelle, pouvant durer de 10 à 45 minutes, selon Mme Careen, pour vérifier les compétences du parent à l’oral.


« Il y a deux composantes au test : l’une repose sur la compréhension du parent du mandat d’une école francophone et sur son engagement, l’autre sur ses compétences langagières. »


La Commission scolaire veut s’assurer que le parent puisse soutenir sa fille ou son fils, qui reviendra à la maison avec ses devoirs en français, et que celui-ci lui offre des occasions de vivre sa francophonie, en participant, par exemple, à des activités scolaires et communautaires en français ou en planifiant leurs voyages dans des milieux francophones.


Les parents seront évalués en fonction de leur niveau de français à l’oral. Seuls ceux de niveau intermédiaire ou avancé pourront espérer admettre leur enfant à l’école francophone.


Les compétences en français du parent et son engagement ne garantissent cependant pas l’admission de leur enfant à l’école francophone puisqu’il y a des quotas d’admission.

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